mercredi 30 mai 2012

5 erreurs à ne pas commettre quand on fait du rangement {Inspiration FLyLady}

Crédit photo : Photos Libres


#1 Vouloir tout faire d'un coup

Vider totalement son armoire afin de trier et ranger correctement ? Biiiip !!!!! fait l'alerte FBI (Fausse Bonne Idée). On se retrouve avec une montagne de vêtements et autres accessoires à ranger, et l'ampleur de la tâche va sembler insurmontable, même si au départ il semble ne pas y avoir tant de choses que ça... Et si on doit s'interrompre, on retrouvera la même pagaille qui n'aura pas bougé... Et si on a tout posé sur le lit, on sera obligé de tout caser quelque part en attendant de pouvoir s'y remettre. 
*A Faire* Une étagère à la fois, la peine s'en trouvera allégée. 

#2 Croire que ça va aller très vite

Ranger et nettoyer "en grand", comme le disait ma grand-mère, une pièce, ça prend du temps. Combien de temps ? Ça dépend, ça dépasse, mais il y a de fortes chances que ça prenne plus de temps qu'on ne l'imagine. En procédant par étapes comme dans le point #1, on peut s'interrompre et reprendre sans avoir l'impression qu'un tsunami est passé en notre absence. On peut planifier la tâche sur plusieurs jours, une semaine dans la méthode FlyLady, sans faire trop durer non plus.
*A Faire* Ne pas sous-évaluer le temps que ça risque de prendre, mais prévoir de s'octroyer des pauses. Et si on a fini avant alors tant mieux !  

#3 S'interrompre à chaque occasion

Certes, on peut, ou plutôt on doit s'autoriser des pauses, c'est pas le bagne. Mais s'interrompre toutes les 5 minutes, c'est le plus sûr moyen de se décourager parce que pendant ce temps, ça n'avance pas ! Et au final,  on aura l'impression d'y avoir passé la journée, mais sans vraiment s'être consacré à la tâche.
*A Faire* Se concentrer sur ce que l'on fait au moment où on le fait. S'octroyer des pauses pour le reste.Comme le suggère la méthode FlyLady on peut utiliser un minuteur.

#4 Déplacer son bordel 

Comment se créent les hotspots ? En accumulant un tas de bricoles auxquelles il faudra trouver une place plus tard. Déplacer son bordel n'est pas ranger. Ce dont on souhaite se débarrasser file à la poubelle ou dans des cartons d'objets et vêtements à donner ou à vendre. La FBI : créer un carton qu'on intitule "A trier", qu'on va entasser avec d'autres et qu'on ne triera jamais...
*A Faire* S'il nous semble qu'un objet serait mieux ailleurs, on le déplace. Mais pas dans un coin "en transit", on lui trouve une place tout de suite. 

#5 Se mettre la pression

Et considérer qu'on fait une corvée. Démotivation, stress et énervement assuré. 
*A Faire* Réaliser que personne ne nous oblige à le faire, si on s'y met c'est pour notre bien-être et celui de notre famille. Mettre de la musique et faire des pauses détente.Visualiser le résultat final et s'y projeter pour se donner du courage.


Une fois la tâche accomplie, s'offrir un récompense. Pas forcément une séance de shopping ruineuse, mais un bon bain, un bon repas, un coup de fil à une copine, vous voyez l'idée !


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samedi 26 mai 2012

En mai, refais ton CV !

Mai, c'est le mois de la fête du travail. Et de tous les ponts, le mois de l'année où l'on travaille sans doute le moins... alors autant en profiter pour refaire son CV.

J'ai un profil professionnel plutôt atypique et je suis en pleine tentative de reconversion professionnelle (partielle, quand même), refaire mon CV c'est aussi une façon de faire le point sur ses compétences, ses atouts et ses faiblesses. Le problème, c'est que ça fait surtout ressortir tous les manques en ce qui me concerne...

Crédit photo : Photos Libres


Montrer sa capacité d'adaptation en parlant de ses différentes expériences ? Oui, mais le risque c'est de passer pour quelqu'un d'instable.

Mettre en avant sa formation? Oui, mais quand elle remonte à plusieurs années (oui j'ai 37 ans...) et qu'on n'a pas pratiqué cette discipline depuis longtemps, ça n'est pas très compétitif. Sans compter qu'il ne s'agit pas non plus de la formation la plus appropriée au métier que je souhaite exercer...

Vanter ses connaissances, son savoir-faire, son savoir être ? Ça reste des compétences transversales, de celles qui peuvent faire pencher la balance entre des candidats qui ont le niveau requis mais insuffisant pour décrocher un entretien.

Ajoutons à cela que j'ai 3 enfants, donc un gros handicap potentiel pour un employeur.

Les solutions qui s'offrent à moi sont donc les suivantes :
  • Suivre une formation (ou plusieurs)
  • Monter ma propre entreprise
  • Renoncer à me reconvertir
  • Trouver un employeur compatissant

Voilà, y'a plus qu'à... La prochaine étape ? Décrire précisément mon projet et mettre en place un plan d'actions!



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Mettre le reste en attente et profiter

le temps d'une parenthèse... Une éclaircie dans le ciel couvert alors vite : on met les maillots dans un sac, les lycras, la crème solaire, des casquettes, des bouteilles d'eau et on file à la plage !


Les enfants s'éclatent et on profite d'avoir la plage pour nous tous seuls (ou presque) !



Je me demande pourquoi je ne fais pas ça plus souvent, envoyer les obligations que je me forge moi-même au diable et profiter de l'instant ! 


Le ménage n'est pas vraiment fait et les enfants ont mangé des pâtes à midi parce que je n'ai pas eu le temps de préparer autre chose, et alors ? On s'en fiche, on s'est bien amusé !

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vendredi 25 mai 2012

Le geste anti-déshydratation élémentaire

Crédit photo : Photos Libres
Tout le monde est concerné, quel que soit son type de peau ! Et ça concerne autant le corps que le visage, sans oublier les mains. 

Parce que oui, une peau grasse peut être déshydratée au  même titre qu'une peau normale ou sèche. 

Un peu comme notre corps quoi, ce n'est pas parce qu'on a du gras judicieusement stocké à des endroits où ça ne nous arrange pas forcément, que l'on n'a jamais soif, on n'est pas des chameaux. Sinon, il nous suffirait d'arrêter de boire pour maigrir, mais ça ne fonctionne pas (oui, je trouve ça dommage aussi).

Le geste le plus élémentaire à accomplir pour éviter de déshydrater un peu (plus) sa peau, consiste donc à bien la sécher dès qu'elle est mouillée ou humide. 

Oui, on a toutes fait un jour ou l'autre l'expérience de la peau desséchée qui tiraille après une journée à la plage ou à la piscine. Mais si ! Quand on sort de l'eau, comme une James Bond girl et qu'on s'allonge nonchalamment sur sa serviette, la peau encore constellée de gouttelettes qui captent la lumière du soleil... Sexy, certes mais peau déshydratée assurée ! Surtout si on renouvelle l'opération plusieurs fois dans la journée, et pendant plusieurs jours, là on finit carrément par avoir une peau de croco.  

Et ce n'est pas pour rien non plus qu'à la maternité on nous explique qu'il faut bien sécher la peau du bébé, sans oublier les plis.

Et pourquoi donc on se déshydrate comme ça ? Parce que l'eau, en s'évaporant à l'air libre, va entraîner l'eau contenue dans la peau ! Le fait de la sécher limite le processus.

Donc on sèche bien sa peau avant d'appliquer son soin (sauf si indication contraire du soin en question, certains s'appliquent sur peau humide) sur le visage comme sur le corps. 

Et on n'oublie pas non plus de se sécher les mains (si possible en évitant les appareils soufflants) parce qu'il n'y a rien de moins glamour qu'une caresse prodiguée par des mains sèches et gercées...

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mercredi 23 mai 2012

BIBA, c'est quoi ton problème ?


Certes, la presse féminine c'est pas du Platon mais un peu de réflexion, c'est trop demander ? J'ai beau le savoir, je me fais encore avoir... Mais il me semble que désormais, entre BIBA et moi, ce soit fini... Je ne me retrouve plus dans ce magazine. Pourquoi ?

"Au secours, les réacs sont de retour!" page 64 dans le numéro de juin 2012


Voilà un article qui déplore la "mémérisation" des people comme Tori Spelling (une grande perte pour le cinéma), Adele ou Gwyneth Paltrow, accusées de mettre entre parenthèses leur carrière pour s'occuper de leur famille (et occasionnellement écrire un livre, tenir un blog ou participer à une émission de télé-réalité)...

Mais heureusement BIBA nous rappelle que nous on n'a pas envie de ça ! Et que ça tombe bien on n'en a pas les moyens. Ou bien c'est l'inverse, mais pour un même résultat.

Oui, c'est tellement plus épanouissant de travailler, alors que la maternité c'est étouffant.

Et dépendre financièrement de son conjoint, quelle horreur !

Et avoir envie de profiter de ses enfants et de son mari ? C'est tellement "old school", une "régression sociale et familiale".

C'est si incompréhensible que ça, qu'une femme puisse avoir envie ou besoin de passer du temps avec sa famille ? Qui n' a jamais rêvé d'une pause dans sa carrière ? De prendre le temps de vivre ?


Heureusement, BIBA par l'intermédiaire d'un homme qui doit en connaitre un rayon sur la maternité et la psychologie féminine, Gaël Le Bellego, nous remet dans le droit chemin ! 


"Ça, on ne vous l'a jamais dit sur l'après accouchement..." page 114

Où l'on apprend que l'on dort peu après la naissance du bébé, tu parles d'un scoop !

Et que "la maternité n'est pas un hôtel 5 étoiles".

Merci BIBA, qu'est-ce qu'on ferait sans toi ? Ah oui, on économiserait 1,40€ !


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Soins des cheveux à l'huile d'olive Kiehl's : bilan après 1 mois !


L' "Olive Fruit Oil Nourishing Shampoo" et l "Olive Fruit Oil Deeply repairative Hair Pak" ont changé ma vie. Au moins celle de mes cheveux. Et même si mes cheveux c'est pas ma vie, c'est quand même vachement bien !

© Kiehl's


J'ai l'air d'en rajouter mais vraiment je n'avais jamais vu ça : mes cheveux sont doux, souples et soyeux, dès la première utilisation j'ai vu la différence ! 

Et des cheveux faciles à démêler, alors que jusqu'à maintenant j'étais obligée de bien les brosser avant le shampoing, de les brosser pendant l'application du démêlant et de galérer encore pour finir de les coiffer après le rinçage... Maintenant je n'ai plus besoin de faire tout ça, j'applique le soin, je le laisse poser quelques minutes, je le rince et quand je sors de la douche, mes cheveux sont démêlés ! Je peux même me coucher sans les brosser, et les trouver démêlés le lendemain au réveil. Quel bonheur, quel plaisir !

Si je devais trouver un seul bémol, en cherchant un peu, je dirais que ça alourdit un peu mes cheveux, qu'ils sont un peu plus plats qu'avant, mais c'est dérisoire à côté des bienfaits constatés !
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mardi 22 mai 2012

Un top-coat option "sèche-vite" { Express Manucure Maybelline }

© Gemey-Maybelline

Quelle est l'utilité du top-coat ? C'est le détail qui fait toute la différence : il donne la dernière touche de brillance au vernis et sert également à le protéger pour prolonger un peu sa tenue. Celui-ci propose en plus l'option "sèche-vite", sensée accélérer le séchage du vernis.

Le résultat ?

  • Même sur un vernis bas de gamme, la brillance est incontestable et avec une seule couche. 
  • La tenue du vernis est améliorée et reste brillante. On peut remettre une couche après quelques jours si nécessaire.
  • Par contre, je n'ai pas vraiment trouvé que le vernis séchait plus vite...


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Sophie Kinsella, biographie et bibliographie



D’abord journaliste financière (si ça vous rappelle quelqu’un ?), Madeleine Townley, épouse Wickham, a publié son premier roman à l’âge de 24 ans, The Tennis Party, publié en français, par les Editions Belfond, sous le titre Un Week-end entre amis, en 2007. S’en suivirent 6 romans, signés Madeleine Wickham :

A Desirable Residence (1996) – Une Maison de rêve (1999)
Swimming Pool Sunday (1997) – Un Dimanche au bord de la piscine (2009)
The Gatecrasher (1998) – La Madone des enterrements (1999)
The Wedding Girl (1999) – Drôle de mariage (2001)
Cocktails for Three (2000)
Sleeping Arrangements (2001) – Des Vacances inoubliables (2002)

A mon avis, mais cela n’engage que moi, les romans de Madeleine Wickham ne sont pas à proprement parler de la chick-lit car il leur manque une composante incontournable : l’humour !

Le premier roman signé Sophie Kinsella, fut envoyé anonymement à l’éditeur qui la publiait déjà sous son vrai nom et qui l’accepta sans même savoir qui se cachait derrière ce pseudonyme. Il retrace les mésaventures de Becky Bloomwood, journaliste financière incapable de gérer son budget, ce qui la conduit à des échanges délectables pour le lecteur (la lectrice ?) avec son banquier… mais la met tout de même dans une situation critique ! Sophie Kinsella a reconnu qu’elle avait mis beaucoup d’elle-même dans le personnage de Becky.
La véritable identité de l’auteure ne fut révélée qu’à la sortie du bien nommé Can You Keep a Secret ? en 2005, hasard ou non ?

La série des “Shopaholic”:

The Secret Dreamworld of a Shopaholic ou Confessions of a Shopaholic (2000) – Les Confessions d’une accro du shopping (2002)
Shopaholic Abroad ou Shopaholic Takes Manhattan (2001) – L’accro du shopping à Manhattan (2003)
Shopaholic Ties the Knot (2001) – L’accro du shopping dit oui (2004)
Shopaholic & Sister (2004) – L’accro du shopping a une soeur (2006)
Shopaholic & Baby (2007) – L’accro du shopping attend un bébé (2008)
Mini Shopaholic (2010) – Mini Accro du shopping (2011)

Les autres romans :

Can You Keep a Secret ? (2005) – Les Petits secrets d’Emma (2005)
The Undomestic Goddess (2006) – Samantha bonne à rien (2007)
Remember Me ? (2008) – Lexi Smart a la mémoire qui flanche (2009)
Twenties Girl (2009) – Très Chère Sadie (2010)
I’ve Got Your Number (2012)


On remarquera que tous les romans parus sous le nom de Madeleine Wickham portent aujourd’hui la mention “Alias Sophie Kinsella”, sans doute plus vendeur ?
En 2009, le magazine Glamour l’a élue « Writer of the year », elle succédait, entre autres, à Helen Fielding (2004) et JK Rowling (2005). 

Sophie Kinsella vit à Londres avec son mari et leurs cinq (oui cinq !) enfants, quatre garçons et une fille.
Il est possible de suivre Sophie Kinsella sur son site officiel http://www.sophiekinsella.co.uk/sophies-world/ en anglais, le site en français semblant être en déshérence depuis quelques temps.

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vendredi 4 mai 2012

La méthode Flylady

C'est quoi ? 

Une méthode conçue pour nous aider à mieux gérer le ménage et le rangement de notre maison facilement, en peu de temps et en s'amusant. Oui, rien que ça.

Comment ?

1. On découpe la maison en plusieurs zones, de préférence cohérentes :
  • entrée et séjour
  • chambres
  • salle de bain et toilettes
  • cuisine
(On peut bien sûr grouper la cuisine et les toilettes mais c'est moins cohérent. Sauf si on a les toilettes dans la cuisine, dans ce cas merci de ne pas m'inviter pour une soirée chili. Ou de ne pas m'inviter tout court)

Ensuite, on consacre une semaine à une zone, à raison de 15 ou 30 minutes par jour et on va nettoyer le haut des fenêtres et le lustre le premier jour, les vitres et miroirs le second jour, etc, jusqu'au dernier jour où l'on nettoie les sols.

2. On identifie ses "hotspots" : les endroits où le bazar s'accumule comme le bureau où l'on dépose le courriers et où traînent les vieilles enveloppes et publicités, le meuble de l'entrée sur lequel on pose (et on oublie aussitôt) tout ce dont on sait trop quoi faire au moment où on l'a dans les mains,... Vous voyez de quoi je veux parler, non ?

Exemple de hotspot sur mon bureau...


Une fois repérés les hotspots, on prend régulièrement le temps (15 minutes) de les déblayer.

3. On met en place des routines : le matin, on débarrasse la table du petit déjeuner, on fait la vaisselle et on range après avoir nettoyé l'évier. On aère son lit. Bref, on met en place des habitudes.

Sachant qu'il faut environ 3 semaines pour prendre une habitude, on y va doucement et on ajoute des actions au fur et à mesure, le temps de s'imprégner de sa routine.

Mon avis et mon expérience :

Je n'aime pas l'idée de commencer une pièce et d'y revenir un peu chaque jour. Par contre, ça m'a aidée à me rendre compte que l'on n'est pas non plus obligé de tout faire d'un coup et que parfois ranger un hotspot et passer un coup d'aspirateur redonne un coup de frais à une pièce. Et si la méthode permet de faire une pièce à fond dans la semaine, elle n'épargne quand même pas l'entretien courant des autres pièces...

J'adore et je garde le principe de la routine du matin et du soir : on ne se disperse pas, et si au début on rechigne un peu parfois on finit par prendre l'habitude ça devient naturel.

Je ne peux pas dire que je trouve la méthode franchement amusante, mais quand je fais un truc à un moment où je préférerais faire autre chose j'essaie de me convaincre que je travaille à mon bien-être de tout à l'heure, quand j'aurais l'esprit tranquille.

J'ai beaucoup aimé certaines petites astuces :
  • Imaginer sa chambre comme une chambre d'hôtel, si on arrivait dans une chambre où le lit n'est pas fait et en désordre, on irait se plaindre à la réception, non ? Pourquoi s'inflige t-on ça chez nous alors?
  • Apporter un soin particulier à son entrée, la première chose que l'on voit en rentrant le soir et si c'est le désordre qui prime, ça stresse en donnant l'impression qu'on est dépassé...
  • Se fixer des objectifs raisonnables, faire les choses petit à petit : ne pas vider tout un placard pour le ranger, l'ampleur de la tâche peut devenir décourageante. Faire une étagère à la fois, ça permet de s'interrompre sans tout laisser en plan !

Pour aller plus loin :

On peut s'inscrire ici ou pour recevoir un mail par jour avec la mission du jour ou des conseils pour anticiper des évènements comme les fêtes de fin d'année.

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jeudi 3 mai 2012

Profil professionnel atypique...

Mes parents font le même métier depuis toujours, pas moi. A aucun moment, je ne me suis dit que j'allais choisir un métier pour la vie.

J'ai fait des études littéraires, enchaîné des CDD de secrétaire, vendeuse, hôtesse d'accueil entre autres ! 

Après une formation en informatique de gestion et un premier CDD de technicienne de hotline, j'ai enfin décroché un premier CDI ! Dans une petite boite d'informatique, c'est le réseau qui a fonctionné pour moi : l'un des deux associés était passé par le même établissement de formation que moi, et il avait contacté une prof pour trouver le profil idéal. Comme c'est mon nom qui est sorti du chapeau, pas vraiment par hasard (j'espère), j'ai été embauchée comme analyste-programmeur, au fil du temps j'ai géré des projets complets et je suis devenue chef de projet...

Et puis je suis devenue maman. Une fois, deux fois, trois fois. Et là ça devenait compliqué, les réunions qui finissent tard, les déplacements, les urgences à traiter et l'impression d'avoir perdu l'enthousiasme et la motivation... Au bout de 8 ans, on a donc eu recours à une rupture conventionnelle de mon contrat de travail.

J'avais toujours su que je ne ferais pas ce métier "à vie" mais je dois reconnaître que je n'aurais pas cru que ce serait si compliqué de concilier enfants et boulot, ni me lasser si vite d'un poste qui m'a vraiment permis de prendre confiance en moi professionnellement parlant. 

Oui, une fois encore, aujourd'hui j'ai envie de revenir à ce que j'ai toujours eu envie de faire... Je pense qu'il est plus que temps, même si la question du comment reste entière.
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mardi 1 mai 2012

Le bonheur de se faire réveiller...

en ce 1er mai, par l'homme qui m'apporte un café suivi de mes loulous portant chacun un pot de muguet...


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